Le Droit a la désobéissance civile des médecins doit-il être utilisé ?

Face aux « pétainistes » l’appel du 18 juin est lancé depuis le Var !
Face à une situation qui s’apparente à de « la dictature sanitaire » un microbiologiste, ancien collaborateur de D Raoult appelle tous les médecins, à partir du 18 juin, à « une désobéissance civile » de prescription pour retrouver leur liberté de prescrire en leur âme et conscience.

Nous avons pris connaissance le même jour de deux informations allant dans des sens totalement contradictoires :

1°) l’INSEE vient de publier le taux de mortalité laissant présager une efficacité du protocole propose par le Pr Raoult : une bi-therapie dans laquelle, pour nous l’AZITHROMYCINE joue un rôle majeur.

2°) Une recommandation de l’HCSP, qui après avoir interdit l’usage de l’hydroxychloroquine par les médecins de ville, empêchant ainsi toute action préventive prônée par l’IHU de Marseille, vient maintenant de demander aux médecins de ne plus traiter ce qui n’est ni plus ni moins qu’une « pneumopathie atypique » comme les autres (si l’on n’a pas l’outil PCR à disposition) comme ils le font généralement en prescrivant un antibiotique (généralement un macrolide) à titre « préventif ». Cet effet « préventif » des surinfections pourrait être selon notre piste des « coopérations bactéries/virus » plutôt un effet « curatif », dès les premiers symptômes, contre une « co-infection » : notamment contre l’un des associés du covid19 le plus fréquemment retrouve (par ceux qui cherchent) : le Mycoplasma Pneumoniae. Cet opportuniste intracellulaire souvent quiescent est connu pour entraîner par son « super antigène », la protéine P1, des « orages cytokiniques lorsqu’il est « réveillé » par des mécanismes de diminution des défenses immunes (à la façon de l’herpès buccal).

A) Statistique INSEE des taux de mortalités publiées ce 8 juin 2020 !

Les chiffres de l’INSEE, publiés ce lundi 8 juin, ne laissent aucun doute sur les affirmations de Pr Raoult : les Bouches du Rhône présentent bien des augmentations du taux de mortalité 2 fois moins important (12,5 %) que la moyenne nationale (25 %) et Marseille (+22 %) trois fois moins qu’à Paris (68 %) : situation dans laquelle ni la densité de population, ni les différences de niveau des équipements hospitaliers ne peuvent être retenues pour expliquer une telle différence.

Voici un tableau visualisant clairement la situation : le nombre d’hospitalisation pour 10 000 habitants est la preuve scientifique et méthodologique d’un effet préventif des hospitalisations et le nombre des décès est la preuve scientifique et méthodologique des moindres gravités de ces hospitalisations (les qualités des urgentistes et des réanimateurs ne pouvant être mises en doute !)

Graphique 2 : Classement des principaux départements métropolitains affectés par l’épidémie en fonction du taux d’hospitalisation au moment du pic de l’épidémie (pour 10 000 habitants) et du taux final de mortalité à l’hôpital (en pourcentage du total des hospitalisés)

Les deux seules questions pouvant être posées sont les suivantes :
• Est-ce par un dépistage et un traitement précoce des malades ?
• Si oui quelle est la molécule réellement préventive ? L’hydroxychoroquine ou l’Azithromycine ?

B) Et qu’entendons-nous dans la missive du 9 juin du Directeur de la DGS (direction générale de la santé) missive validée bien entendu par le ministre de la santé et par le premier ministre :

  • Nous n’avons pas de traitement du Covid19 : il est urgent d’attendre chez soi en prenant le seul médicament dangereux le paracétamol (cf fibroses du foi aux USA) et faisant chuter la fièvre et le taux de glutathion (deux éléments indispensables dans la lutte de l’organisme contre les infections). Les complications auto-immunes de ces infections Covid+ peu symptomatiques, non décapitées par bi (HCQ+AZI) ou mono-thérapie (AZI), alourdirons le dossier de « non-assistance à personnes en dangers » qui plane sur la tête de ces « entêtés ».
  • Il est non seulement interdit aux médecins de ville de prescrire l’Hydroxychloroquine depuis le 26 mars mais en plus :.
  • Depuis le 9 juin, un scoop mondial : Selon M. Salomon, citant l’HCSP, l’usage des macrolides à titre préventif des surinfections ou des co-infections, des Pneumopathies Atypiques (P-A) n’est pas indiquée ! Car l’infection à Covid 19 n’est au départ qu’une P-A par ses signes cliniques identiques aux autres Pneumopathies virales ou bactériennes atypiques. Ne frise-t-on pas là une véritable « dictature sanitaire ? » corrélée ou non avec ce qui suit :
  • Dernier scoop : Boursorama, le livre de chevet des boursicoteurs, plus avides de spéculer qu’à d’aider à faire émerger une thérapie efficace accessible à tous, publie en citant ses sources (Reuters du 08/6/2020) : « coronavirus : l’AEM pourrait accélérer l’autorisation du Remdésevir de Gilead » en citant l’AEM (agence Européenne du Médicament)
    « l’évaluation du ratio bénéfices /risques est réalisée dans le cadre d’un calendrier réduit ».

Alors oui nous pensons que lorsque Bernard Henry Levy écrit son livre « le virus qui rend fou » il a parfaitement raison.

Quelle est l’origine de la cascade d’événements arrivant brutalement depuis le 4 juin 2020 ?

1°) Tout d’abord l’étude du Lancet, publiée à grands coups de renfort par le service communication de Gilead (sans commune mesure avec celui de D Raoult tenu par le fort sympathique Yanis Roussel),essaye de démolir la bi-thérapie, et ce bien entendu dans un contexte d’utilisation tardif (dans les hôpitaux) alors que l’indication préconisée par l’IHU est : « dès les premiers symptômes ».
L’impact, jusqu’à l’intervention de plusieurs scientifiques, est édifiant :
• au même moment, des Professeurs de Médecine se sont relayés sur les plateaux télé pour dire que l’étude du Lancet était « impeccable ».
« Cette étude est en fait de très bonne qualité », a déclaré sur CNews Philippe Juvin, chef des urgences à l’hôpital Georges-Pompidou.
« L’article n’est pas foireux, il est tout à fait bien écrit », a dit sur BFM TV le Pr Christian Funck- Brentano, pharmacologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.
Sans oublier le Ministre de la Santé lui-même, Olivier Véran, qui a immédiatement « black- listé » l’utilisation de l’hydroxychloroquine, sur la base de cette étude trafiquée !
En un coup d’œil, Didier Raoult a vu que l’étude du Lancet sur les dangers de l’hydroxychloroquine était « foireuse ».
Dix jours plus tard, le 4 juin, la fraude était révélée au grand jour, et l’étude retirée du journal The Lancet – un fait très rare.
Non seulement les chiffres ont été manipulés, mais ils ont même peut-être été fabriqués : le pédigrée du chirurgien spéculateur étant à l’origine de ce grand « enfumage » a été révélé au grand public !!…

2°) Dans le même temps un débat entre un ancien collaborateur de Didier Raoult et l’IHU avait lieu sur la responsabilité réelledes 2 molécules utilisées: Hydroxycloroquine ou Azithromycine ?
Claude Escarguel, microbiologiste et ancien collaborateur de 2003 à 2015 de D Raoult se fondant sur ses travaux antérieurs con cernant l’éventuelle complicité de germes intracellulaires. Pour lui le Mycoplasma Pneumoniae dont les souches virulentes possèdent un super antigène (protéine P1) capable de provoquer des « orages cytokiniques » dont le chef de file est l’IL6 (qui sert aujourd’hui à évaluer le stade des dégâts inflammatoires) est l’un des complices des graves complications du covid19 : certaines souches avirulentes pourraient ne donner que des complications auto-immunes sans « orage ». Il pense que le traitement sur 10 jours par l’Azithromycine dès le début des premiers symptômes, est suffisant pour décapiter ces potentiels complices ((virulents et non virulents) et pour prévenir les hospitalisations et les décès liés à ces complications inflammatoires.
Son hypothèse est vérifiée par une étude observationnelle,sur 2000 patients traités avec la seule Azithromyine , qu’il a effectué avec un groupe de médecins généralistes qui obtiennent d’excellents résultats, résultats qui manifestement ne plaisent ni au conseil scientifique ni au ministère alors que l »académie de médecine ,qui avait eu ce travail en main, lui avait conseillé de contacter le ministre et le conseil scientifique.
C’est au lendemain de la réception par le ministre et par les Pr Lina et Fontanet (qui n’ont pas pris la peine de lui répondre) que la « mise en garde » de Jérôme Salomon est intervenue avec des arguments qui illustrent le manque d’informations (ou de désinformations orientées) de M. Salomon :

caractère exceptionnel de la co-infection : Les chinois, qui contrairement aux Français, ont étudié de façon approfondie ces co-infections ont prouvé l’existence de ces co-infections tant chez l’adulte que chez les enfants
(REF 1: « Covid19 in chlidren , pregnancy and néonates : a review of épidémiologic and clinical features » Petre Zimmerman MD pediatrics inf deseases 2020 39 469-477)
(REF2: zing Q du Quindao hospital montre que 79 % des prélévements sont co-infectés surtout avec le virus influenzae A et B (35 %) et suivant les régions avec le Mycoplasma pneumoniae (23 % à Quinao et 20 % à Wuhan) et RSV (5 %) : 20% est déjà supérieur aux cas d’apparition de « l’orage cytokinique. « Précautions are needed for traitement for covid19 patients with co- infections of common respiratory pathogénes » med R xir 2020.)

Même les américains (Vijay Gayam asst program dir New york Srikanth Narumala Handford «dans le Medical virology 13 mai 2020 : « présurting charactéristics , comorbidités, and outcomes of patients co-infected with Covid19 and Mycoplasma pneumoniae « la seule co-infection ayant décédé est celle n’ayant pas reçu l’Azithromycine !!

En sens inverse notre connaissance des publications internationales concernant le Mycoplasma pneumoniae illustre que ce dernier est souvent rencontré en co-infections tant chez le enfants que chez l’adulte : C’est le propre laboratoire de virologie de M. le Pr Lina qui, en 1994, publie au congrès de l’IOM (international Organisation for Mycoplasmologie de Bordeaux ) que dans le cadre des enquêtes épidémiologiques de la grippe (LID : Influeazae Like Deseases), MP est retrouvé dans 23,4 % des cas avec influenzae B ou RSV : 10 % avec inf B , 8,3% , et parfois les deux P 472. Surprenant : on retrouve à 25 ans d’intervalles des résultats voisins de ceux que montrent des études sérieuses , scientifiques (ils se gargarisent de ce terme) et non pas orientées, comme celles sur lesquelles se reposent Mrs Salomon et Veran.( cf le Lancet).

C’est d’ailleurs à ce même congrès que D Raoult a publié que le MP était tellement comparable au « shweemgum du Pr Haddock » qu’on le retrouvait même dans le liquide de lavage broncho- alvéolaire « Mycoplasma pneumoniae : pneumonies following mechanical ventilations : report of three cases » ou comment l’hyperventilation aurait pu créer une co-infection exogéne !!P493 de l’IOM de Bordeaux.

Affirmer que les co-infections sont exceptionnelles quand on ne connait pas la littérature ( c’est le B à Ba des staffs de D Raoult), c »est comme affirmer que le traitement de la bi-thérapie de l’IHU ne marche pas alors qu’ils n’ont jamais été capables de le reproduire dans les indications préconisées (dès les premiers symptômes) puisqu’ils avaient eux même interdit aux seuls qui pouvaient le reproduire (les médecins de ville) une des deux molécules.

Maintenant que l’autre molécule semble donner de bons résultats ils veulent en dissuader l’utilisation au détriment de tout le schéma thérapeutique habituel des pneumopathies atypiques (voir article de France soir du 9/62020 dans lequel ils montrent un dessein humoristique à propos de la nouvelle dénomination du Vidal : « le VERAN » tous les décrets pour bien prescrire !!:.

Pousser les médecins à ne pas prescrire l’Azithromycine ,dès les premiers symptômes, est aussi irresponsable et dangereux pour les patients que d’avoir interdit (le seul pays au monde ) l’utilisation de l’hydroxychloroquine en ville et de l’avoir réservée aux seuls hôpitaux stade de la maladie ou elle ne pouvait qu’aggraver les choses quand elle était donnée ,surtout en association, chez de malades cardiologiquement affaiblis !! Bravo l’élite du conseil scientifique !!

Bizarrement des publications émergent du monde entier et confirment ce que le Pr Perronne a montré à l’hôpital de Garches (jamais cité dans les médias), que la bi-thérapie, et même l’Azithromycine seule, prévenaient de façon incontestables les complications justifiants les entrées en Réa et les décès (un seul décès dans les bi et mono-thérapies versus 9 décès sans traitement).

Les japonais de leur coté se posent la question suivante « Macrolides traitement for covid19 : will this be the way forward ? « Mashashi ohe- houma Bio sciences trends 2020:14 (2) 159-160 affirmant même « we believe that traitement with macrolides alone … are promising and open the possibility of an international strategy to fight this emerging viral infection »

Plusieurs études en cours sont sur le point de confirmer les résultats de la cohorte des 2000 patients traités par les médecins de ville et les résultats du Pr Perronne : l’hôpital Saint Joseph de

Paris est entrain d’étudier un essai randomisé avec 4 bras à titre préventif des complications: Azithromycine seule, hydroxychloroquine seule, une associations de deux antiviraux, et le groupe témoin, étude menée par le Pr Nakash.

Le Pr Trelulyer de Necker-Cochin réalise un comparatif entre Hydroxychloroquine , Azithromycine et un groupe témoin avec 300 membres du personnel hospitalier dans chaque bras, pour tester l’effet « prophylactique » et non plus « préventif », effet déjà décrit pour les anti-paludéen-like, mais pas encore pour l’Azithromycine.

Il est à noter que les patients asymptomatiques ou pauci-symptomatiques, qui n’ont reçu aucun traitement dès les premiers symptômes, voient aujourd’hui 50 ou 60 jours après leur infection, apparaître des signes très évocateurs de maladies chroniques. Ces signes sont assez caractéristiques des suites d’infections aussi bien virales qu’à MP alors que ces complications ne sont pas manifestée, d’après nos informations, dans les cohortes de personnes traitées dès les premiers symptômes (IHU et médecins de ville) ! Qui en est responsable ? Le virus ou les complices ? Est ce que dans beaucoup d’autres infections virales (influenzae, RSV,coronaviroses autres que Covid19) les intra cellulaires joueraient ce rôle de complices laissant présager, pour beaucoup de clinicien, un rôle très efficace de l’Azithromycine sur le virus.Si ses légères propriétés antivirales ont déjà été décrites (par son action sur la pénétration dans la cellule par la modification des propriétés des lysosomes), il se pourrait qu’elle agisse essentiellement sur les co-facteurs, (co-facteurs fréquemment présents contrairement aux affirmations de M. Salomon dans des co- infections associées) et qu’elle n’agisse que très partiellement directement sur le virus ? That is a new question !!

Quelle que soit la réponse il est certain que les personnes à qui l’on a conseillé de ne rien prendre en dehors du poison dénommé « paracétamol » conseillé en cette période épidémique par les élites médicales, risquent de gonfler la cohorte de patients se plaignant « de non-assistance à personnes en danger ».En effet, outre le fait de ne pas avoir la possibilité de prendre un médicament actif sur la prévention des complications, ces malades se sont vu conseiller une molécule, le paracétamolæ qui agit en diminuant leurs propres défenses.Cette immuno déficience partielle pourrait avec l’aide du virus , selon nos intuitions, faire passer un MP du stade quiescent, au stade actif, un peu à la façon dont agissent les UV, la fièvre ou le stress sur l’herpès quiescent dans notre organisme, avec les manifestations auto-immunes des atteintes liées au MP non virulents (les souches incapables de donner des « orages cytokiniques mais capables par leur « mimétisme cellulaire et leur propriétés « d »échappement » à notre système de défense , d’entraîner des processus auto-immuns.

Les médecins de ville ayant prescrit l’Azithromycine se voient aujourd’hui honteusement poursuivies par le conseil de l’ordre mais nous avons le pressentiment que demain c’est le conseil de l’ordre qui risque d’être poursuivi : l’arroseur arrosé !!!!

L’un des témoignages les plus édifiants est celui d’un malade benjamin Glaise, journaliste du grand matin à Sud Radio atteints de complications types du MP (signes respiratoires avec brulures pulmonaires, essoufflement, manifestations neurologiques, état confusionnel, sommeil, fatigue, syndromes voisins des complications du MP, manifestations évaporées après deux jours d’Azithromycine : son témoignage est visIble sur internet : Benjamin Glaise.

Face à une telle erreur d’aiguillage thérapeutique d’une équipe incapable d’agir face à une urgence telle que celle que nous avons vécu ,nous avons décidé de prendre une initiative et de lancer un nouvel appel, l’appel du 18 juin 2020, pour s’opposer aux défaitistes qui nous ont répété « il est urgent d’attendre » : la bithérapie aurait pu sauver 50 % des patients décédés et l’Azithromycine ou un autre macrolide si AZI est résistant, pourra sauver 4 décès sur 5.

Nous conseillons donc , dans le cadre de cette « dictature sanitaire aveugle et autiste » de proposer à partir de ce jour (le 18 juin) une désobéissance civique pour la liberté de prescription : ce ne sont pas les quelques nouveaux cas de covid19 qui vont entraîner des résistances aux macrolides.Ces arguments de « risque de résistances « est un argument aussi fallacieux que celui de Roselyne Bachelot lorsqu’elle apeurait les foules sur la toxicité de l’hydroxychloroquine sans jamais parler du paracétamol. Les milliers de patients atteints de maladies chroniques n’ont pas vecu ce que cette dame pronait mais en plus n’ont pas été touchés par le virus par l’effet « prophylactique » du plaquénil et de tous les anti-paluéen like : en Italie sur

67.000 patients atteints de maladies chroniques recensés par un collectif de rhumatologues, seuls 20 personnes ont été infectées, sans aucune hospitalisation et sans aucun décès, car la CMI du plaquénil avant l’infection empêche le virus de se fixer.

NB. L/a désobéissance civile est le refus assumé et public de se soumettre à une loi, un règlement, une organisation ou un pouvoir jugés iniques par celles et ceux qui le contestent, tout en faisant de ce refus une arme de combat pacifique. La désobéissance civile s’envisage comme une action collective.
L’état de nécessité est une notion juridique, indissociable de celle de désobéissance civile, qui consiste à autoriser une action illégale pour empecher la réalisation d’un dommage plus grave ( aujourd’hui un risque accru, statistiquement illustré, de complications et de mortalité).
Selon l’article 122-7 du code pénal, «n’est pas penalement responsable la personne qui, face a un danger actuel ou imminent qui menace elle-meme, autrui ou un bien, accomplit un acte necessaire a la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s’il y a disproportion entre les moyens employes et la gravite de la menace».